Un homme est trouvé mort dans son lit, l’épée de son fils aveugle enfoncée dans sa poitrine. Des traces de sang sur le mur conduisent à la chambre du jeune homme. Tout semble indiquer qu’il est le coupable. Et si cela n’était qu’une machination de sa belle-mère pour le faire accuser ? Qui est l’assassin ? Qui dit la vérité ?
Le mur aux traces de main ensanglantée est un exemple de controverse, un exercice typique des écoles de rhétorique antiques. Les deux études de ce volume s’intéressent au dialogue intertextuel à l’oeuvre dans la déclamation latine. Une traduction des deux plaidoyers de la déclamation Le mur aux traces de main ensanglantée – le discours du fils aveugle et celui de la marâtre – complète l’ouvrage.